Souvent face à Maya Luna, mon enseignante ces 9 derniers mois, je me sens comme une enfant émerveillée face à une fée, une magicienne, alors qu’en temps terrestre elle a un an de plus que moi.
Elle nous encourage à plonger dans nos profondeurs, à ouvrir grand l’espace, se laisser traverser.
Je pleure, je pleure, des litres, pendant des jours entiers (merci le confinement).
Mon intention première pour cette immersion est de trouver les ressources en moi et le soutien pour concrétiser mes projets.
Je me retrouve à visiter le fin fond de mon sentiment d’impuissance.
Et je me vois lui demander à plusieurs reprises, comme un enfant qui demanderait quand est-ce qu’on arrive ?
« Dis Maya, comment passer à l’action ? Je pleure depuis des jours... que m’arrive t-il ? »
« Love, you are birthing »
L’action jaillira des profondeurs, au bon moment. L’action juste connectée aux profondeurs de l’être, le masculin en soi au service du féminin, la coupe réceptionne l’inspiration, le sceptre lui donne forme, la propulse vers l’extérieur, le monde, pour qu’elle y rayonne.
Tu verras, Love, c’est comme un érotisme, tu sentiras l’énergie de la manifestation comme un courant en toi, qui te traverse et demande à éclore, à s’offrir.
La délivrance coulant de source, aucun effort, juste une ouverture, un jaillissement
Et oui C’est vrai Et c’est magique
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